Les contes de l'Île Jésus
Les contes de l'île Jésus, regroupent des capsules vidéos qui révélent des univers de femmes inspirées de l'époque des débuts de la colonie sur l'île Jésus. Est-ce qu'elles ont vraiment existé ? Chose certaine, les lieux et les événements sont bien réels ! La comédienne conteuse, Danielle Godin s'est amusée à tricoter des récits de son imaginaire en les métissant à l'histoire et aux légendes de notre coin de pays où Laval s'appelait alors l'île Jésus ! Découvrez-les sur la chaine Youtube des bibliothèques de la Ville de Laval.
À partir du 3 octobre 2020 : La femme du meunier de Saint-François de Sales
En 1716, le Séminaire de Québec construisait sur l'Île de Laval dans son petit domaine, un moulin qu'on dénommait « le moulin d'en bas » ou « le moulin de Saint-François ». En 1721, un incendie a ravagé le bâtiment et par la suite, en 1723, il était emporté en partie par les glaces.Découvrez ce qu'il adviendra du Séminaire au bord de la faillite, suite à une série d'incidents qui ont détruit aussi le manoir, la ferme et l'église.
À partir du 11 octobre 2020 : La femme du Boulanger - Conte du quartier Saint-Vincent de Paul
Le 20 mai 1873, 119 détenus arrivent par bateau à vapeur. Sous la direction de François-Zéphirin Tassé, médecin de Saint-Martin, le pénitencier devient un microcosme où chacun est employé à une tâche précise. Au début du XXe siècle, on y compte près de 500 détenus. Malgré la présence de ce monde fermé, anonyme et souffrant, ceinturé par d'imposants murs d'enceinte, Saint-Vincent-de-Paul profitera largement des constructions et aménagements apportés aux établissements successifs. Les retombées pour le village seront énormes en termes d'accroissement de population – détenus, gardiens, visiteurs – de main-d'œuvre spécialisée et d'infrastructures urbaines, avec l'installation des systèmes d'aqueduc, d'égout et d'électricité dans l'enceinte de la prison et dans les rues voisines. https://grandquebec.com/laval/saint-vincent-de-paul
À partir du 8 novembre 2020 : La femme de l'aubergiste de l'Abord à Plouffe - Conte du quartier Chomedey
Le développement de L'Abord-à-Plouffe coïncide avec les débuts de l'exploitation du bois en Outaouais, au début du XIXe siècle. La localité devient alors une halte obligée pour les cageux et leurs trains de bois qui doivent franchir les rapides à proximité. Dans la première moitié du siècle, le nom désigne les deux rives de la rivière des Prairies, puis le noyau de l'île Jésus. L'Abord-à-Plouffe doit son nom aux nombreux Plouffe ayant habité la localité. De même, le lieu d'arrêt des cageux aurait été une terre appartenant à un Plouffe.